Beautiful Bastard de Christina Lauren

Quatrième de couverture :

« L’esprit vif, bosseuse et volontaire, Chloé Mills n’a qu’un seul problème, son patron : Bennett Ryan. Exigeant, direct, dépourvu de tact, ou d’une quelconque considération à l’égard d’autrui, il est absolument… irrésistible. Un salaud magnifique. Bennett retourne à Chicago après avoir séjourné en France pour jouer au sein de l’entreprise familiale qu’il dirige, un grand groupe de media, un rôle de premier plan. Rien ne laissait supposer que son assistante, chargée de l’aider à distance lorsqu’il était à l’étranger, puisse se révéler être cette sublime créature, dotée d’une innocence toute provocatrice et absolument exaspérante, avec laquelle il allait désormais devoir travailler chaque jour. Malgré sa réputation, Bennett n’est pas du genre à entretenir une aventure sur son lieu de travail. Mais Chloé est si séduisante qu’il envisage de faire une entorse à la règle – pour ne pas dire, la faire complètement voler en éclats – si c’est le seul moyen pour lui, de la conquérir, de se l’approprier, de la posséder. Alors que désir et attirance mutuelle ne cessent de croître jusqu’à un point limite, de non-retour, Bennett et Chloé doivent décider exactement ce qu’ils sont prêts à perdre ou à sacrifier, pour continuer à s’auto-posséder, l’un l’autre sans répit. »

Nombre de pages : 390 pages

Maison d’édition : Hugo Roman

Type : New Romance

Public : Adulte

Univers : On se retrouve en entreprise au cœur d’une grande ville américaine. Genre Chicago.

Mon avis :

Je me baladais à la bibliothèque et je suis tombée dessus un peu par hasard pendant un moment où j’avais envie de romance donc je me suis lancée sans trop d’attente.

Bon, soyons honnête, Beautiful Bastard est un roman rempli de cliché, non en fait, c’est un cliché ambulant avec un scénario prévisible des deux personnes sublimes qui se détestent au début, se sautent dessus sans pouvoir s’arrêter, partent en tête à tête dans un nouvel environnement, ouvrent les yeux sur leurs sentiments et paf quiproquo qui les séparent, ils sont malheureux, l’un fait un beau geste pour se rattraper et hop happy end.

Voilà tout est dit.

Franchement j’exagère à peine, c’est vraiment ça mais bon je vais faire un effort.

J’ai bien aimé le fait que Bennet assume ses sentiments dès qu’il s’en rend compte et surtout, il n’a pas honte et les exprime ce qui change un peu.

Ensuite, Christina Lauren a une écriture très fluide et entraînante qui fait que j’ai lu ce livre en entier mais je trouve que cela manquait un peu d’émotion même si j’ai versé malgré tout une ou deux larmes.

Quant aux personnages secondaires, ils n’étaient clairement pas assez présents et développés, ils ont une place qui aurait pu être plus utile et importante et j’aurai apprécié apprendre à les connaître et qu’ils ne fassent pas juste office de décors..

En conclusion, j’ai passé un bon moment avec Beautiful Bastard, j’ai beaucoup levé les yeux au ciel, j’ai tout anticipé mais bon c’était sympa quand même.